Alors aujourd’hui on parle de la tendresse. C’est tout doux, tout mignon la tendresse, y’a rien à dire sur la tendresse ! Mais si, mais si, et vous allez voir c’est hyper intéressant.
Cet article c’est pour ceux qui ont envie d’approfondir leur relation de couple. Ceux qui n’ont pas forcément de grandes difficultés mais qui ont envie de mieux se comprendre, et mieux se connaître.
La tendresse c’est avant ou après l’amour ?
J’ai discuté avec pas mal de femmes et beaucoup me disent “Pour que je fasse l’amour, IL FAUT, qu’il y ait eu avant de la tendresse, et qu’on ne soit pas fâchés”.
Et j’ai discuté avec quelques hommes qui m’ont dit “Moi la tendresse, c’est après l’amour, j’ai trop envie de faire des câlins, de dire des mots doux, de parler pendant des heures”.
Vous commencez à comprendre le truc ?
Pour beaucoup de couple cette tendresse créer des enjeux de pouvoir et parfois des tensions. La sexualité pour avoir de la tendresse et la tendresse pour avoir de la sexualité.
Je pense que c’est aussi parfois des idées reçues mais je vous en reparle un peu plus loin.
La tendresse comme outil de communication et de désir
Pour ceux qui ont envie/besoin de tendresse pour avoir de la sexualité (le plus souvent les femmes mais pas que).
La tendresse est vraiment un outil précieux à utiliser dans votre relation. La tendresse peut être perçue comme un liant, comme une huile pour que la mécanique de votre relation fonctionne mieux.
Souvent les couples aujourd’hui se croisent. Un peu le matin, un peu le soir et de temps en temps ils font l’amour. Ces moments de sexualité sont des moments de connexion importants mais parfois ce sont les seuls. Parce que le reste du temps vous êtes au travail, ou avec les enfants et que vous n’avez pas la disponibilité pour connecter avec l’autre.
La tendresse peut alors être un moyen de vous connecter avec votre partenaire.
Et cela peut aussi être un moyen d’entretenir votre désir. Si vous avez besoin/envie de tendresse pour activer votre libido, cela vous permet d’entretenir des conditions favorables pour votre désir.
Et si on a pas envie de tendresse ?
Je trouve qu’il y a aussi beaucoup d’idées reçues sur la tendresse. Comme le fait que les femmes en ont besoin et que les hommes n’aiment pas trop ça.
Dans les faits, dans la pratique j’aime à dire qu’à la naissance, les bébés garçons aiment autant que les filles les câlins, et les marques d’affection en général.
Cette différence qu’on observe parfois se fait avec le temps, avec l’éducation, avec l’image sociale de ce que devrait être un homme. Et parfois, les hommes s’éloignent de leur envie un peu “primaire” de tendresse.
Et à l’inverse, l’image renvoyée aujourd’hui aux femmes c’est qu’elles aiment la douceur et la tendresse. Et qu’une sexualité sans tendresse c’est “du sexe pour du sexe”, et c’est mal vu.
Je vous invite à prendre conscience de ces carcans sociaux dans lesquels nous sommes et qui nous éloignent parfois de nos envies et nos désirs.
Une femme qui ne veut pas de tendresse n’est pas une s***** et un homme qui veut de la tendresse n’est pas “un fragile ou un soumis”.
PS : Si votre couple connaît actuellement une période de turbulences et que avez connu une infidélité, je propose des accompagnements. Et avant de se lancer, je propose une séance découverte gratuite. Pour plus d’infos : Séance découverte
Souvent, on me dit que ce n’est pas le moment pour se lancer dans un accompagnement pour son couple. Ou qu’on a envie de le faire tout seul, “Non, non, on va se débrouiller”.
On a pas de problème avec l’idée d’un coach sportif pour perdre du poids ou prendre du muscle. On reconnait qu’il a une expertise et on a pas honte qu’il nous aide à améliorer l’efficacité de nos actions. On comprend bien que c’est nous qui allons faire le boulot et transpirer mais on comprend qu’avec un coach sportif on ira plus vite et on sera soutenu.
Mais pour son couple c’est pas pareil, on se dit qu’on devrait être capable de faire seul. On pense que ce serait “mieux” si on y arrive seul.
Non, ce n’est pas inné de savoir s’occuper de son couple.
J’ai toujours trouvé que c’était surprenant que l’on ai aucune sorte de “formation” pour son couple. Alors que c’est souvent, l’une des relations les plus importantes de sa vie.
Auparavant, dans les temps anciens comme on dit, les transmissions familiales étaient plus présentes. Les jeunes garçons et les jeunes filles étaient initiés par leurs parents ou par les adultes autour d’eux sur la vie de couple, la sexualité.
Aujourd’hui les transmissions familiales sont plus rares, on parle moins de ces choses là, dans nos sociétés modernes qui se disent pourtant de plus en plus libérées.
Et dans les temps anciens, on reproduisait le schéma parental, sans trop se poser de questions. Aujourd’hui, les individus pensent de plus en plus par eux mêmes et s’éloignent parfois des valeurs et des idées parentales.
Alors comment on fait si on a pas eu de transmissions familiales ? Et comment on fait si on en a eu mais qu’on est pas d’accord et qu’on veut faire autrement ?
C’est une des raisons profondes qui font que je fais ce métier, j’ai vraiment à cœur de désacraliser les relations de couple, de dépoussiérer toutes ces croyances anciennes.
Les couples modernes ont soif de se connaître et de se comprendre d’avantage. Ils veulent apprendre de nouvelles choses et acquérir de nouvelles compétences et connaissances.
Certains ont aussi envie d’optimiser leur relation et leurs échanges. Ils veulent devenir des “experts” de leur relation, pour la nourrir et vivre quelque chose de plus intense.
Dans mes contenus, je cherche vraiment à vous aider à apprendre à prendre soin de votre couple.
Décomplexons les problèmes de couple !
Vous êtes deux êtres humains différents, vous n’avez pas la même éducation, pas la même manière de voir les choses et des besoins différents.
Et vous prenez la décision de vivre ensemble, puis par la suite d’avoir des enfants. Vous devez donc vous mettre d’accord sur le quotidien, sur l’éducation des enfants, …
C’est à mon sens normal, qu’il y ait des moments où ça ne fonctionne pas, ou que ça fonctionne seulement un temps.
Vous n’êtes pas la même personne à 20 ans qu’à 35 ans. Vos besoins, vos envies, et votre quotidien est souvent très différent.
Ce qui fonctionnait au début de votre relation ne fonctionnera sans doute pas, dix ans après.
Cela ne veut pas dire qu’il y a un dysfonctionnement, que vous faites mal les choses, que vous ne vous aimez plus assez l’un l’autre.
Vous êtes juste deux être humains qui cherchent à s’harmoniser.
PS : Si votre couple connaît actuellement des difficultés de communication ou si vous avez envie d’améliorer la qualité de vos échanges, restez connectés ! Je vais sortir très bientôt un challenge gratuit Les 5 clés pour améliorer ta communication de couple.
Les pauses dans la vie sexuelle d’un couple sont assez fréquentes en réalité même si personne n’en parle.. Après une longue période de tensions, après l’arrivée d’un enfant, après une infidélité ou juste comme ça ; beaucoup de couples traversent des périodes sans relations sexuelles. Et c’est pas toujours simple de s’y remettre !
Dans cet article et la vidéo associée, je vous donne des pistes pour sortir de l’impasse :
Ouvrir le champ des possible.
Non, la sexualité n’est pas que pénétration. Quand il ne s’est rien passé depuis des mois, je préconise plutôt une reprise par étape. On parle alors plutôt de massages, de caresses, de déclaration, de messages ou lettres romantiques. L’idée est de renouer avec son désir, de retrouver le corps de l’autre, mais aussi se familiariser à nouveau avec le fait d’être regardé, caressé. Il est aussi très important d’échange sur ses craintes, ses envies, ses besoins. Et de le faire en amont. Pour ne pas créer de déceptions ou d’incompréhensions.
On accepte que ce sera sans doute pas la meilleure relation sexuelle de sa vie
Il y a cette croyance populaire que c’est comme le vélo. J’ai envie de répondre oui et non ! Bien évidemment que coté pratique, une fois que vous savez comment ça marche, vous ne pouvez pas le désapprendre. Mais les corps peuvent être rouillés, ou tendus. Il peu y avoir beaucoup de pressions et d’attentes. On peut parfois se sentir gauche, maladroit et c’est normal.
À mon sens l’idée est vraiment de rechercher la connexion avec l’autre et pas la performance. Cela veut dire pas d’obligation d’aller au bout, pas d’obligation d’atteindre l’orgasme.
PS : Si votre couple connaît actuellement une période de turbulences et que la sexualité est compliquée, je propose des bilans de couple. C’est une séance qui dure 1h30 à faire seule ou en couple. On y aborde toutes les sphères de votre couple et on peut prendre le temps de faire un focus sur votre sexualité. Contactez moi pour plus d’infos.
Je continue ma série d’articles autour de la sexualité. Je vois qu’ils vous plaisent bien et j’en suis ravie.
Aujourd’hui je réponds à une question d’une de mes abonnées sur Instagram. D’ailleurs si tu as envie de nous y rejoindre c’est par ici : https://www.instagram.com/un.temps.pour.nous/
La question était :
Est-il possible d’avoir une sexualité sur le long terme sans sentiments ?
Alors je commencerais par dire que pour moi il y a toujours des “sentiments” lors d’une relation sexuelle désirée. Ce n’est pas forcément de “l’amour” mais il y a des sentiments. Cela peut être de l’attirance, du désir, de l’excitation…
Est-ce que c’est possible ?
À mon sens ces sentiments peuvent suffire. Si tu as une sexualité pendant plusieurs années basée sur du désir et de l’excitation, moi je n’y vois pas de problème.
Dans nos sociétés actuelles, la sexualité est associée au fait d’être amoureuse.
En étant amoureuse, la sexualité serait meilleure. En réalité, pour que la sexualité soit bonne, il faut que tu te sentes bien, que tu te sentes à l’aise et détendue. Et pour un grand nombre de femmes, elles se sentent à l’aise et détendue quand elles sont amoureuses.
Mais ceci n’est pas une réalité pour beaucoup de femmes. On peut se sentir à l’aise, détendue, sans ressentir de l’amour.
Et si je n’ai pas envie de m’attacher ?
J’ai envie de préciser un détail. Certaines femmes me disent qu’elles n’ont pas envie de s’attacher. Elles ont une sexualité avec quelqu’un, régulière, mais elles ne souhaitent pas s’attacher.
Exemple concret: “Je fréquente un homme déjà en couple. Nous avons des relations sexuelles, j’ai envie que cela continue mais je ne souhaite pas m’attacher car il ne sera jamais disponible“.
J’ai envie de vous inviter à la prudence. En effet, c’est illusoire de croire que tu peux maitriser ton affection, ou ton attachement.
Si tu fréquentes un homme qui t’attires, que tu désires, et si vous connectez via la sexualité pendant plusieurs années, il y a de grandes chances que tu finisses par t’attacher.
Bien souvent le fait de t’attacher à quelqu’un ou non ne dépend pas uniquement de ta volonté.
Une différence de libido dans le couple peut très vite devenir un sujet délicat, qui dure désagréablement dans le temps. À terme, ça peut venir impacter d’autres sphères de la relation amoureuse. Dans ma pratique de thérapeute de couple et sexologue, je reçois beaucoup de messages de femmes (et d’hommes !) me disant ne pas être sur la même longueur d’onde que leur conjoint·e en matière de désir. La différence de libido au sein du couple peut aller dans les deux sens : des femmes qui ont moins de désir que leur conjoint et, au contraire, des femmes qui sont en couple avec un conjoint qui « n’a jamais envie ». Cette différence de libido avec son/sa conjoint·e existe aussi, évidemment, au sein des couples homosexuels.
Que faire si vous êtes concerné·e·s ? Il est d’abord important de comprendre que ces différences sont normales. Ensuite, vous pourrez travailler à les accepter, les comprendre et, éventuellement, les harmoniser. Je vous propose ici des pistes pour appréhender cette situation avec bienveillance.
C’est normal d’avoir une différence de libido dans le couple
Il n’est pas rare qu’un couple se confronte à des différences de libido. Je reçois d’ailleurs de plus en plus de consultations sur ce sujet, avec une tendance nouvelle : de plus en plus de femmes me rapportent avoir une libido plus importante que leur partenaire, ce qui bouscule les idées reçues. Cela peut créer de la surprise, de l’étonnement, de l’incompréhension… et un sentiment d’être « vulgaire » chez la femme, ou d’être un « sous-homme », d’être insuffisant chez l’homme.
Ces sentiments sont renforcés par l’image véhiculée par la société, où l’homme est perçu comme ayant une libido constante et un désir toujours présent, tandis que la femme, au contraire, est souvent associée à une libido plus faible et fluctuante. Pourtant, dans les faits, la libido varie en fonction de nombreux facteurs pour chaque individu. Il n’y a pas de règle absolue.
Les différences de libido dans le couple, qu’elles soient marquées ou légères, ne signifient pas nécessairement qu’il y a un problème. C’est une variation naturelle dans la vie de chaque couple, influencée par les contextes émotionnels, physiques et parfois même environnementaux. Votre désir, votre « appétit sexuel » est unique : il est lié à votre histoire de vie, à votre rapport à votre corps, à vos hormones et à votre physiologie, à la relation avec votre partenaire, etc. Il est donc rare que votre envie de sexualité tombe au même moment que celui de votre partenaire. Bien souvent, c’est un fonctionnement du couple qui s’installe et vous vous ajustez à un rythme qui vous convient à tous les deux. Mais parfois, lors de certaines phases, le rythme ne convient plus. Les raisons peuvent être multiples : psychologique ou physiologique ou un peu les deux. C’est là que s’installe une différence de libido dans le couple.
Accepter et interroger les conséquences de cette différence de désir dans le couple
Les stéréotypes liés à la sexualité évoluent, même si ce processus reste lent. Aujourd’hui, de plus en plus de femmes osent affirmer leur désir sexuel sans crainte de jugement, mais il reste un long chemin à parcourir. Pour débuter, il est essentiel de se rappeler que la différence de désir est normale et ne doit pas être un sujet de culpabilité.
Cependant, accepter cette différence est une étape cruciale, car elle permet d’engager un dialogue ouvert et constructif au sein du couple. Se poser les bonnes questions peut aussi aider à dédramatiser la situation : est-ce que cette différence nous pose vraiment un problème ? Y a-t-il des moments où cette disparité de désir crée de la frustration ou des tensions entre nous ? En d’autres termes, il est important de comprendre si cette variation impacte négativement la relation ou si elle est simplement perçue comme une différence naturelle.
Il est aussi judicieux de s’interroger sur les raisons de cette différence. Qu’est-ce qui influence ma libido ? A-t-elle changé récemment, et si oui, pourquoi ? Parfois, des éléments extérieurs comme le stress, la fatigue ou des changements hormonaux peuvent jouer un rôle important dans la fluctuation du désir sexuel. En parallèle, écouter les ressentis de son ou sa partenaire est tout aussi important : comment vit-il ou vit-elle cette différence de libido ?
Prendre en compte tout ce qui est lié à la libido : le désir, l’amour, l’affection, la connexion…
Dans un couple, la sexualité ne se limite pas uniquement à la libido. Il est donc essentiel d’intégrer tous les éléments qui la nourrissent : l’amour, l’affection, la tendresse, la connexion émotionnelle, etc. Souvent, on parle de désir comme d’un élément isolé, mais il est rarement indépendant des autres aspects de la relation.
Lorsqu’un couple se confronte à une différence de libido, il est crucial de tenir compte de ces autres dimensions. Par exemple, si l’un des partenaires ressent un fort désir sexuel mais que l’autre n’est pas réceptif, cela ne signifie pas forcément qu’il y a un manque d’amour ou d’affection. Le désir peut fluctuer indépendamment des autres aspects de la relation amoureuse.
À mon sens, il est très important de communiquer sur ce sujet. L’un des moyens pour retrouver un équilibre est de comprendre ce qui nourrit ou, au contraire, épuise la libido de chacun. Les besoins en termes d’intimité varient, mais ils ne sont pas uniquement dictés par l’envie de rapports sexuels. Parfois, des gestes d’affection, de tendresse, ou simplement passer du temps de qualité ensemble peuvent raviver le désir.
Certaines questions peuvent vous aider dans cette démarche d’introspection :
Que représente pour vous cet acte de sexualité ? Une envie de connecter avec votre partenaire, une envie de montrer son affection, un besoin de tendresse ?
Et que représente le refus de votre partenaire, ou votre propre refus ? Une peur de le/la perdre, le manque d’envie de vous « forcer », la peur d’une dispute ou qu’il/elle vous en veuille ?
C’est en allant plus loin que le « trop de désir » ou « manque de désir » que vous allez pouvoir dénouer la situation. Il est possible quel’enjeu soit plus profond que la différence de libido.
Accepter pleinement ou équilibrer cette différence de libido dans le couple
Selon les aspirations du couple, il existe plusieurs manières d’aborder cette différence de libido dans le couple. Tout d’abord, il est tout à fait possible d’accepter cette disparité et de l’intégrer dans la dynamique de la relation amoureuse. En fonction de ce que vous et votre partenaire souhaitez, une option possible est de laisser la personne ayant la libido la plus élevée prendre l’initiative des moments d’intimité, tout en respectant le rythme et les envies de l’autre. Ce schéma peut très bien fonctionner, à condition que chacun soit en accord avec cette démarche et que la communication reste ouverte.
Une autre option, si cette différence est perçue comme un obstacle, consiste à chercher ensemble des moyens de la rééquilibrer. Par exemple, on peut chercher comment favoriser l’expression du désir chez la personne qui a une libido plus basse, sans pour autant forcer les choses. À l’inverse, celui des deux partenaires qui a une forte libido pourra tâcher de ne pas laisser ce désir « écraser » l’autre – même si cela est souvent involontaire.
Pour cette seconde option, il peut être nécessaire de consulter un·e professionnelle pour faciliter ces discussions et trouver des solutions adaptées. Ce processus d’accompagnement permet d’aborder la sexualité sous un angle différent, avec une écoute attentive des besoins de chacun.
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La différence de libido dans un couple n’est pas une fatalité. Elle peut être un sujet délicat à aborder, mais avec une bonne communication, de l’écoute et de la bienveillance, il est possible de vivre cette situation de manière plus épanouissante. Que vous choisissiez de l’accepter ou de chercher à l’équilibrer, l’essentiel est de respecter les désirs et les besoins de chacun. Parlez-en avec votre partenaire et, si nécessaire, n’hésitez pas à solliciter l’aide d’un professionnel pour accompagner ce cheminement.
Pour recevoir régulièrement des conseils et des réflexions pour prendre soin de votre couple, inscrivez-vous à ma newsletter.
Hello, aujourd’hui je vous embarque à nouveau avec moi pour un article sexo. (ou une vidéo si vous préférez)
Pour ceux qui ne me connaissent pas, je prends 10 secondes pour me présenter. Moi c’est Lucie, je suis thérapeute de couple. Je reçois dans mon cabinet en Essonne et je fais des consultations en ligne. J’aborde les difficultés de couple comme les conflits, le manque de communication et la sexualité. Beaucoup de couples ne sont pas satisfait au niveau sexo, d’où mon article sur le slow sex aujourd’hui.
Pour plus d’infos sur ce que je propose ou pour prendre rendez-vous c’est par ici.
Avez-vous déjà entendu parler du slow sexe ?
Le Slow Sex c’est vieux comme le monde mais cela revient depuis peu sur le devant de la scène.
C’est pour vous, si vous avez envie d’expérimenter autre chose dans la manière d’avoir du plaisir.
Cela peut aider un couple qui a envie de se renouveler ou d’avoir une sexualité plus connectée. Mais c’est aussi pour une personne seule qui a envie de vivre plus intensément son auto-sexualité. Pour ceux qui ont envie d’en savoir plus tout de suite j’ai crée un guide découverte du slow sex.
Le slow sex qu’est-ce que c’est ?
Cette pratique porte bien son nom. Il s’agit de faire l’amour lentement, très lentement. Les mouvements sont amples et lents. Dès le début, dès le déshabillage ; chaque geste, chaque contact est lent.
Idéalement on porte également une attention particulière à l’environnement. Un moment de la journée où vous êtes tous les deux détendus et où vous n’avez pas de contraintes horaires.
L’objectif est de vivre son plaisir en pleine conscience, totalement connectée à soi et/où à son partenaire. Vivre l’instant présent, en se concentrant uniquement sur ce que vous ressentez là, tout de suite, maintenant.
Par où commencer ?
Cela peut être déroutant au début car pas dans vos habitudes, mais cela permet d’être véritablement connecté à ce qu’il se passe. Autant à vos sensations physiologiques que vos sensations émotionnelles.
Cela vous permet également de vivre votre sexualité plus intensément.
Souvent on associe l’intensité à la passion, la fougue, où l’on se précipite pour se déshabiller et pour se retrouver. Dans notre société, on associe le plaisir sexuel et le désir à une forme d’urgence qu’il faudrait assouvir dans la minute.
Là, avec le slow sexe, c’est une autre approche du plaisir, une autre forme d’intensité.
Pour une première approche, vous pouvez commencer par être attentif à votre respiration et à vos sensations corporelles.
Si cela vous semble inaccessible pour l’instant, alors cela peut être intéressant de fixer une durée : “Pendant 5 minutes, on pratique du slow sex”.
J’ai créé un petit guide gratuit pour commencer à expérimenter le slow sex. Dites moi en commentaire si vous souhaitez que je vous l’envoie.
Prenez soin de vous.
Lucie
Envie d’aller plus loin ?
Pour réserver une séance seul ou à deux c’est juste ici : https://calendly.com/un-temps-pour-nous